Budget participatif métropolitain - Faites pousser vos idées pour la biodiversité !
Jardin-filtre urbain
Non retenue
- Je décris le lieu que j'ai repéré
- Tout espace public ou foncier de la MEL pouvant accueillir le projet
- Pourquoi je l'ai repéré ?
- Dans les milieux urbains : - L’eau de pluie ruisselle sur les surfaces imperméables, entraîne des polluants (huiles, déchets, métaux lourds) vers les égouts ou les cours d’eau. - Les sols sont artificialisés et perdent leur capacité à filtrer naturellement. - Les eaux grises (toitures, voiries, lavoirs) ne sont pas valorisées.
- Je peux préciser son emplacement
- Surface recommandée: 80 m² à 200 m² (solution modulaire, selon les besoins, esthétique et réplicable dans toute la métropole).
- Quelle est sa surface ?
- Exemples inspirants : Jardin filtrant de Lormont (33) : zone de phytoépuration réhabilitée pour l’école publique; Campus de la Doua (Lyon) : jardin filtrant avec suivi participatif; Ecoquartier de Fribourg-en-Brisgau (Allemagne).
- Je décris en quelques lignes mon projet : Quel est mon projet ? En quoi permet il de développer la nature et d'apporter plus de biodiversité sur le territoire ? Pourquoi est-il adapté au lieu que j'ai repéré ?
- Mettre en place un jardin filtrant urbain, intégrant des plantes à capacités d’épuration naturelle, pour filtrer les eaux de ruissellement, assainir des eaux grises ou pluviales et restaurer localement la qualité des sols et de l’eau tout en créant un espace vivant pour la biodiversité. Solution proposée: Création de micro-zones de phytoépuration naturelle, aussi appelées jardins-filtre ou jardins épurateurs. Ceux-ci permettent de dépolluer l’eau en surface ou en profondeur via des plantes capables d’absorber ou de dégrader les substances nocives. Bénéfices: Ralentissement et filtration des eaux de pluie ou grises; Dépollution naturelle des sols ou zones inondables; Refroidissement urbain par évapotranspiration; Création d’un refuge pour insectes, batraciens, oiseaux; Support pédagogique pour les écoles. Comment ? 1. Choix du site : proche de zones de ruissellement ou de toitures, terrain public sous-exploité. 2.Conception d’un bassin filtrant : Zone de préfiltration (graviers, sable). 3.Plantation de végétaux épurateurs en plusieurs strates (racines profondes, zone aérienne). 4.Canalisation de l’eau de pluie ou grise : vers le jardin-filtre. 5.Mise en place d’un dispositif pédagogique : étiquettes des plantes, explication du fonctionnement naturel. 6.Suivi du taux de pollution et des performances à l’aide de kits simples (partenariat avec écoles ou universités). Espèces végétales utilisées: Typha latifolia (massette) : absorbe les nitrates; Phragmites australis (roseau commun) : dégrade hydrocarbures et métaux lourds; Iris pseudacorus : absorbe phosphates, très ornemental; Carex spp. : stabilise les berges; Mentha aquatica : effet antimicrobien; Scirpus lacustris : assainit et oxygène. Intérêts: Nature au service de l’eau, sans chimie, sans énergie; Solution modulaire, esthétique, réplicable dans toute la métropole; Pédagogie et implication citoyenne directe. Partenaires possibles: écoles, lycées agricoles, etc.
Cette proposition n'a pas été retenue parce que :
Après analyse, votre projet n’a pas pu être retenu car la surface mentionnée dans votre projet est inférieure au minimum requis (1000m²). De plus, il n'identifie pas de foncier spécifique. Nous vous remercions toutefois pour votre engagement en faveur de la nature et de la biodiversité au sein de la Métropole européenne de Lille.
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?

Partager: