Budget participatif métropolitain - Faites pousser vos idées pour la biodiversité !
ForĂŞt urbaine Miyawaki
Retirée
- Je décris le lieu que j'ai repéré
- Tout espace public ou foncier de la MEL pouvant accueillir le projet. Sélection du site : parcelle de 100 à 1 000 m², friche urbaine, bord de route, espace délaissé...
- Pourquoi je l'ai repéré ?
- Les villes sont de plus en plus minérales, chaudes et pauvres en nature. Cela entraîne : des épisodes de canicule plus intenses, une perte de biodiversité ordinaire, un appauvrissement du lien au vivant pour les habitants.
- Je peux préciser son emplacement
- Exemples inspirants: Paris – Parc Georges Brassens : micro-forêt créée en 2020 avec Boomforest Bruxelles – Forêt de la Paix : collaboration citoyens – écoles Toulouse – Quartier La Cartoucherie : projet participatif de 400 m² Courbevoie (92) : forêt plantée sur terre-plein de route
- Quelle est sa surface ?
- Surface recommandée: minimum 100 m² pour un effet écologique local. Optimal entre 400 et 1 000 m² (1 200 à 3 000 plants). Duplicable sur de nombreux sites urbains.
- Je décris en quelques lignes mon projet : Quel est mon projet ? En quoi permet il de développer la nature et d'apporter plus de biodiversité sur le territoire ? Pourquoi est-il adapté au lieu que j'ai repéré ?
- Créer une forêt urbaine dense, résiliente et autonome sur de petites surfaces délaissées en milieu urbain, grâce à la méthode Miyawaki afin de : booster la biodiversité locale, lutter contre les canicules urbaines, stocker du carbone durablement, offrir un refuge naturel et un espace pédagogique à tous. La méthode Miyawaki permet de planter une micro-forêt native, dense et résiliente en seulement 3 ans avec : une forte densité de plantation (3 arbres/m²), une grande diversité d’essences locales (20 à 30), une croissance très rapide grâce à la compétition naturelle, un entretien quasi nul après les deux premières années. Ressources créées : stockage de CO₂ (puits de carbone vivant), microclimat local (réduction de température), couloir écologique en zone urbaine, support pédagogique (suivi scolaire, panneau d’info, etc). Comment ? 1.Analyse du sol : texture, compaction, acidité, matière organique. 2.Préparation du sol : décompactage, apport de compost, paillage organique. 3.Choix des essences : plantes locales indigènes issues de trois strates (canopée, intermédiaire, sous-bois). 4.Plantation dense et mélangée : sans alignement, 3 à 5 jeunes plants/m², 5.Paillage épais : 20-30 cm de mulch pour limiter l’évaporation et enrichir le sol, 6.Suivi pendant 2 ans : arrosage ponctuel et observation, puis la nature reprend le relais. Espèces bénéficiaires(faune) : Oiseaux : rougegorge, mésange bleue, chouette, fauvette; Mammifères : hérisson, écureuil, musaraigne; Insectes : papillons, abeilles, coléoptères, syrphes; Champignons et microbiote du sol (recyclage des nutriments). Bénéfices: restauration écologique à très fort impact sur petite surface, adaptable, rapide et visuellement transformateur, appropriation par les habitants via la plantation participative, duplicable sur de nombreux sites urbains. Partenaires possibles : Semeurs de forêts, Planteurs volontaires.
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?

Partager: