🔮 Et Maintenant, On Imagine la MEL Comment ?
#EtMaintenant Consultation citoyenne pour vivre ensemble après le confinement
🍀 "Pour notre agriculture, l’environnement, il faudrait désormais..."
06
mai 2020
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01
août 2020
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70 commentaires
pour l’environnement, il faudrait abandonner le projet piscine olympique à saint sauveur. lille doit développer des poumons verts un peu partout en privilégiant la biodiversité. il faut arrêter de bétonner.
Conversation avec B-L
Pour notre environnement, il faut imposer la destruction des logements insalubres pour reconstruire des habitations écologiques
Il faut réhabiliter les logements insalubres avec des matériaux bio-sourcés et locaux. Pour cela, nous pouvons nous appuyer sur le projet d'Habiter 2030 qui a remporté le Solar Décathlon 2019. Ce projet consiste à transformer les "maisons 1930" en habitat à énergie positive, basé sur le low-tech.
Conversation avec Bernard
pour l'environnement plus de transport public avec un meilleur maillage, et une interdiction du droit de gtréve
le droit de grève est justement un droit
Un service minimum ou des réquisitions. Après, nous ne sommes pas les plus concernés dans ce secteur (heureusement) !
Le maillage est important. Mais aussi de l’intermodalité car les premiers derniers kilomètres sont les plus difficiles/longs.
Compléter le service actuelle de transport en métro/bus/ tram par l'augmentation de bornes vélos pour les derniers kilomètres justement, et laisser plus de place au vélo sur les routes.
Conversation avec Rémy Yves
Bonjour, Pour améliorer/défendre notre agriculture, il faut d'abord qu' elle existe. Soutenons notre production de la Mel en se fournissant localement au juste prix chez nos agriculteur en échange de pratiques agroécologiques.
Par ailleurs,les fleurs d'ornement ne nourrissent personne, utilisons nos jardiniers communaux et communautaires pour cultiver de la nourriture à grande échelle, le Mel et les communes possèdent de plus en plus de terres agricoles ou à remettre en culture. Il faut des fermes communales qui alimenteront les écoles, Ehpad, cantines en fruits légumes et viande(seuls les herbivores valorisent les espaces de prairies permanentes impropres au labours).
Bref , il faut stocker du carbone par l'agriculture et par la réduction des transports.
Développer l'agriculture locale, la soutenir, que celle-ci devienne plus efficiente, plus durable, sans pesticides...
Développer les points de ventes directes pour soutenir cette agriculture.
Je suis d'accord, plantons des arbres ou arbustes fruitiers, voire des autres produits consommables en lieu et place de certains arbustes d'ornement stériles pour la nature.
Voir en ce sens l'initiative des Incroyables Comestibles (partout sur le territoire, voici le lien vers le groupe de VASCQ)
http://lesincroyablescomestibles.fr/villeneuve-dascq/
C'est vrai qu'il y a tellement de plantations d'ornement qui ne servent à aucun insecte localement par exemple (et pire se révèlent parfois envahissantes) alors que nous avons des variétés patrimoniale de pomme, poire, cerises ... certaines villes ont développées des 'balades gourmandes' ou les abords de chemin sont plantés de fruitiers et petits fruits rouges / arbustes à propriétés médicinales pour redécouvrir le plaisir de la cueillette sans piller les espaces naturels (et en faisant attention aux terres sur lesquelles tout cela est planté)
Économiser l'énergie en obligeant les bureaux, commerçants et vitrines à éteindre leurs éclairages à partir d'une certaine heure (dérogation possible si la lumière est nécessaire : en lien avec la présence d'un salarié par exemple).
Conversation avec Amandine Gabriels
Commencer par faire un travail de sensibilisation sur les déchets des marchés, pour à terme, pouvoir y interdire l'usage de sacs plastiques jetables. Proposer aux commerçants ambulants des alternatives et/ou des formations sur le sujet.
De manière globale, bannir le plastique à usage unique (malheureusement, en cette période, les lobbys du plastique reviennent à la charge pour défendre leur business, qui, nous le savons, n'est bon ni pour la planète, ni pour les organismes vivants, dont nous faisons partis. Pour rappel, nous avalons en plastique l'équivalent d'une CB par semaine).
De manière plus durable, revoir notre façon de fonctionner par rapport "aux usages unique", visons "ré-utilisations".
Et d'autant que le plastique est la matière sur laquelle le coronavirus tient le plus longtemps.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-5247(20)30003-3
https://www.journalofhospitalinfection.com/article/S0195-6701(20)30046-3/fulltext
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7121658/
Arrêter la supercherie de certains sacs plastiques dits réutilisables (parce que c'est indiqué sur le sac) et que personne ne réutilise. Par exemple il existe des halles aux fruits/légumes dans lesquelles on trouve à la fois des sacs papiers et ces sacs plastiques "réutilisables" que certains consommateurs utilisent comme des sacs jetables.
Inciter les commerçants à ne pas donner de sacs ou emballages en plastique mais à les vendre et TRES CHER, y compris pour les réutilisables (qui ne le sont pas la plupart du temps) pour dissuader les consommateurs de les prendre. LE MEILLEUR DECHET EST CELUI QUE L'ON NE PRODUIT PAS !
Sinon, prévoir une taxe appliquée par la MEL sur tous les suremballages pour pouvoir développer des projets verts.
ex : chez les fleuristes : faire payer le film plastique en plus rajouté autour des fleurs et jeté dans l'heure qui suit !
dans les jardineries, faire payer plus cher les plantes vendues dans les pots en plastiques (pour lesquels aucune filière de recyclage n'existe !!)
Idem pour les industriels autour des packs de lait, seule denrée difficilement consommable en bouteille de verre (recyclable à l'infini)
Sans incitation financière, malheureusement, les choses ne bougeront pas !
Conversation avec JLL
Il faudrait
1) "sanctuariser" les espaces naturels et ne plus autoriser l'artificialisation des terres sous aucun prétexte, que ce soit une route, une rocade, ou une zone d'activité. Notre région est une des plus densément peuplées de la planète. Cette surpopulation cause de multiples nuisances (dont le développement de nouvelles épidémies) et l'on doit tout faire pour la limiter
2) Il faudrait rendre à la nature des zones dont l'activité est nuisible, je pense par exemple à toute la zone de l'aéroport de Lesquin. Cet aéroport doit être fermé et réaménagé en parc, forêt, étangs.
Une autre zone qui pourrait profiter d'un tel traitement serait toute la zone commerciale d'Englos qui est très vieille,a un modèle qui date de l'après-guerre, qui est source de pollution et qui en plus est économiquement dépassée.
De manière générale, adopter le "zéro artificialisation des sol" sur l'ensemble du territoire de la MEL. Et de fait privilégier les réhabilitations et reconversion de bâtiments en coeur de ville.
Conversation avec claude
*Le nerf de la guerre c est le prix ....dans quelques mois les consommateurs se retourneront sur les prix .....
même en bio ....( l espagne ou autres proposent des prix plus bas que nous ...pour de diverses raisons (salaires charges etc)
pour permettre d acheter local ou national il faut mettre en place une aide financière (moins de charge ou autres) pour permettre à nos agriculteurs de vendre leurs produits au même prix .
*mettre en place des coopératives locales
+1
Cependant pour le prix, je ne suis pas fan des aides financières. Cela me paraîtrait beaucoup plus juste de taxer les importations lorsqu’un produit français/local existe. Une sorte de taxe carbone en sorte pour rendre moins compétitifs les produits qui ont fait beaucoup de route… Le produit de cette taxe pourrait d’ailleurs alimenter une aide aux familles pour qui la part de budget alimentaire est un frein à l’achat de produits plus « locaux ».
Conversation avec Chloé
Favoriser les marchés très locaux (proche des lieux d'habitation et à des horaires adaptées à tous : soir, week-end, matin...), avec des fournisseurs locaux (et pas de la revente du MIN) pour que le marché devienne le réflexe principal des habitants, avant le supermarché
Peut-être aussi développer des horaires "hors bureaux". Chaque mardi, je peux voir deux camions vendre leurs produits jusque 19/20h. Cela permet aux gens qui travaillent, et qui rentrent chez eux, d'acheter local.
Limiter les constructions : il y a pas mal de bureaux à louer, et on en construit encore car les aides poussent à ce business
Systématiser les composteurs de quartiers, qui pourront servir aux espaces verts, ou pkoi pas aux agriculteurs !
Créer des espaces "prairies fleuries".
Bref, appliquer pas mal de choses que l'on peut lire dans http://noe.org/Restaurer/Jardins-Noe/JDN.ORG/jdn-pro/Guide-technique-Jardins-de-Noe.pdf
Récupérer les eaux de pluies
Augmenter l'efficacité du traitement des déchets pour plus de revalorisation : moins de déchets, déchets mieux trier, déchets moins brulés ou enfouis (car c'est la réalité)
En parallèle, contrôler que le tri est correctement réalisé (voir à mettre des amendes)
Développer (AVEC FORCE) les transports en communs de la région (pas seulement Lille), et du MAILLAGE : les transports en communs doivent être efficaces pour attirer
Planter massivement des arbres et haies ds les champs
Conversation avec Josselin
Pour ma modeste participation je propose les choses suivantes :
1/ Règle d’or de 0 construction sur un espace non déjà construit.
2/ Assemblée citoyenne pour le climat tiré au sort ayant droit de veto écologique sur tout vote de la MEL et droit de proposition.
3/ Inverser la logique d’éclairage publique pour la biodiversité et les riverains. Tout éclairage nocturne devra être éteint par défaut et allumé en cas de passage par exemple.
4/ Un centre ville piéton et des pistes cyclables protégées des voitures par des séparations physiques.
5/ Plan de rénovation thermique des habitats concernant également les locataires de logements dit de passoire thermique.
votre proposition 0 construction sur un espace non déjà construit ne peut qu'apporter une situation très défavorable au développement bien pensé d'une Métropole qui sse doit d'être dynamique.
Définition de dynamique, "Qui manifeste une grande énergie, entreprenant". Il faut m'expliquer où est l'obligation ici, j'ai surtout l'impression que c'est une réponse idéologique ici. Et surtout en quoi favoriser la revalorisation d'anciens espaces inoccupés et respecter la biodiversité serait non dynamique. Au contraire Euratech qui est parti de cette idée là est entreprenante, si on reprend la définition. Faire des espaces dit de tiers-lieux favorise le vivre ensemble des citoyens l'est également.
Dans quelques années quand la fréquence des canicules sera d'une un an sur deux la question ne se posera plus car de tels zone d'hyperconcentration feront fuir tous citoyens et commerces. Là pour le coup construire sera devenu tout le contraire de ce que vous prônez.
Il y a du bon dans la reprise de l'ancien pour y faire de l'activité logement ou commerce. La réhabilitation des friches industrielles en logements de qualité dans la métropole en est un heureux exemple.
Mais dire qu'il faille interdire toute autre configuration de construction en cœur de ville relève d'une très courte de vue de l'esprit.
Je préfère que 100 personnes vivent en cœur de ville sur un terrain actuellement en friche que de savoir que ces personnes qui de toute façon doivent se loger, iront s'installer à 50km de la Métropole et feront chaque jour un aller-retour pour se rendre au travail avec leur véhicule. Là oui c'est du CO2 créé bien inutilement.
Vouloir faire revivre un quartier alors que des personnes telles que vous passent leur temps à vouloir multiplier les obstacles à un développement sein de notre Métropole, relève en effet du dynamisme.
Il faut développer beaucoup d'énergie pour déplacer des montagnes de préjugés.
Relisez moi je n'ai pas dit qu'il fallait interdire toute constructions. Si vous voulez une paraphrase de ce que j'ai dit c'est de dire non à l'étalement urbain, les surfaces artificialisées doivent diminuer et non augmenter. Cela pour plusieurs raisons celles liées à la biodiversité, à la diminution du réchauffement en milieu urbain, à l'impact carbone d'une construction en béton, et la limitation des sécheresses dû aux faits que les nappes ne sont plus alimenté efficacement.
Ce que vous présentez et une vision très courtermiste et pas du tout pérenne dans le temps. Déjà parce qu'à l'échelle de la métropole il reste du logement inoccupé. Venez faire un tour à Roubaix pour découvrir certains quartiers qui ne sont habités qu'à moitié. Il y a énormément de réhabilitation possible. Et ensuit c'est beau comme exemple mais ça ne reflète en aucun cas des comportement globaux où beaucoup de personnes actuellement habitent en métropole et partent travailler en voiture.
Dans la métropole Lilloise il y a 2 cas de figures : anciens quartiers rénovés ou les nouveaux logements coutent chers, les quartiers à l'abandon ghettoïsés. De l'autre on met des brides pour empêcher l'expansion de nouveaux quartiers en périphérie. Du coup les futurs habitants vont s'installer loin (Armentière, Orchies, La Bassée ...) . Pour desservir ces personnes la seule alternative reste la voiture . Faute de pouvoir mettre tout ce beau monde dans des bus ou des métro ou des trains ... Bah oui tout le monde ne va pas à Lille centre ...
C'est bien pour résoudre cette dualité qu'il est important de changer de logique. Je tiens à préciser que la même proposition a été proposé par la convention citoyenne pour le climat et voté à presque l'unanimité aujourd'hui même.
"Interdire toute artificialisation des terres tant que des réhabilitations ou friches commerciales sont possibles dans l’enveloppe urbaine existante"
Attention aussi à ne pas trop simplifier la situation il y a autant de cas de déplacement que de personnes et tout le monde ne travail pas en centre ville (ça serait d'ailleurs plutôt souvent en périphérie de ville). Ce genre de problématiques rentre dans des plans de mobilité à différentes échelles avec des propositions comme des nouvelles lignes de transport en commun, le retour de commerces de proximité, plus de télétravail, des véhicules partagés, des parking intermédiaires, etc.
Vos propos présentent beaucoup d'incohérences et de fausses affirmations.
vous dites
1/ Règle d’or de 0 construction sur un espace non déjà construit.
Comme la population augmente et que vous vous opposez à ce que des espaces libres puissent servir à sont installation vous souhaitez donc la concentration des populations par la verticalisation des logements.
Vous vous opposez à ce qu'une famille veuille vivre en Métropole sur maison avec jardin.
Pour vous, permettre de construire de façon aérée c'est tarir les nappes phréatiques ?
Vous imaginez qu'une nappe calque sa superficie en fonction de l'occupation des surfaces sous lesquelles elle circule.
Vous n'imaginez pas qu'une nappe qui traverse la métropole puisse venir de plusieurs dizaines de kilomètres d'éloignement de la métropole.
Pour vous, naître en métropole et vouloir y vivre c'est être condamné à habiter d'ancien quartiers roubaisiens que l'on aura rasé et verticalisé.
J'ai une autre vision du bien vivre ensemble.
Une bonne illustration de l'argument de l'homme de paille, présenter la position de l'adversaire de façon volontairement erroné pour en critiquer celle-ci au lieu de la proposition initiale. Je sais très bien que de changer de modèle de pensé n'est pas forcement une chose simple mais ne partez pas dans des sophismes. Je ne suis pas pour de la verticalisation bien au contraire je suis pour la réhabilitation d'espaces et de recréer des espaces de vivre ensemble. Vous avez le droit de penser que le destin d'une métropole est de constamment s'agrandir en laissant des quartier s'appauvrir et d'autres s'enrichir, ce n'est pas mon cas. Je vous invite à vous renseigner sur le rôle de l'artificialisation sur le réchauffement des centres urbains, la biodiversité et les sécheresses.
Après oui c 'est une position radicale, et vous avez droit d'être conservateur en ne l'approuvant pas, mais j'estime que nous n'avons plus le choix au vu des derniers rapports du GIEC et de L’IPBES.
Principes :
- mailler la grande distribution et la production locale/régionale/nationale/européenne => inventer des plateformes commerciales qui évitent les trop nombreux déplacements- Il existe un niveau d’insalubrité dans certains quartier de la MEL qu'il me semble primordial avant de construire du neuf de pousser à la réhabilitation de l'ancien (la plaine image est une belle illustration)
- poser comme principe / objectifs un quota d'espace vert / habitants
- développer les projets d'agriculture urbaine
- mailler restaurateurs lillois et production locale
-Developper la végétalisation partout où c'est possible , développer les jardins , potagers , vergers partagés
-Interdire de construire encore et encore et plutôt rénover les logements anciens
-Soutenir les producteurs locaux , respectueux de l'environnement ...et Bios par des marchés , des circuits de distribution facilités , de groupements d'achats
Encourager l'agriculture biologique en s'associant avec des organismes comme talents de ferme pour aider les agriculteurs à s'installer localement en bio.
Développer l'agriculture urbaine sur les toits, dans les parcs.
Favoriser la biodiversité de nos parcs, jardins, espaces verts et développer les principes de la permaculture
Former et éduquer: promouvoir une formation à l'agroforesterie, permaculture
développer les circuits courts et les initiatives comme les cooperatives d'agriculteurs en ventes circuit court.
Planter des arbres, planter des arbres, planter des arbres et arretons ce beton!!!!!
Pour notre agriculture :
Pour l'environnement:
Pour notre environnement : créer davantage d’espace vert. Des espaces suffisamment grand pour qu’ils deviennent les poumons vert de Lille.
Faciliter les déplacements écologiques en simplifiant leur accès et leur utilisation.
Pour notre agriculture : développer les jardins partagés par quartier, accessible à chaque famille en demande.
- Continuer à privilégier l’accueil de producteurs locaux dans les marchés de la ville.
- Favoriser l’embellissement des commerces de proximité, qui pourraient accueillir des producteurs locaux, comme pour les halles de Lille Sud qui sont laissées à l’abandon par la ville. En effet la ville à choisie de créer un immense centre commercial à Lille Sud, Lillenium, plutôt que de participer au développement de proximité de ce quartier.
Faire plein de pâturage autour de Lille comme dans l'avesnois :) L'agriculture intensive détruit les paysage .
Interdire les éoliennes .
Aussi pour l’agriculture, revenir au bocage. Bon pour la biodiversité, le maintien des terres, la lutte contre les inondations…
Conversation avec Stephane
Conserver nos territoires ruraux. Limiter drastiquement les zones industrielles dans les Weppes afin de conserver une zone agricole riche au sein de la métropole.
Et pas que dans les Weppes : partout !
Le maintien ou idéalement le développement des surfaces agricoles ne serait pas un luxe dans une métropole déjà hyper-urbanisée/artificialisée. Et dans ce cadre plus de maraichage et de bio pour serait appréciable pour pouvoir se nourrir sainement de produits locaux.
Une politique métropolitaine qui incite les Villes (avec des co-financements) à développer les projets innovants d'un point de vue environnemental dans leurs domaines d'intervention propres. Ex : écoles primaires (éco-écoles, outils de sensibilisation et d'implication des jeunes …), urbanisme (éco-quartiers, éco-habitat ...), espaces verts (boisements, sciences participatives ...), propreté (campagnes de sensibilisation, promotion des ramassages citoyens …) etc ...
Conversation avec CécileG
Favoriser l'implantation d'exploitations bio en créant des liens avec les cantines et restaurations collectives locales.
Travailler avec les agriculteurs pour favoriser leur transition : formations, information sur les risques sanitaires pour eux et pour les consommateurs (eux aussi), aides financières pour accompagner la période de changement.
Favoriser le lien entre les agriculteurs et les habitants.
Créer des fermes pédagogiques et partenariat avec les écoles pour former/informer les jeunes générations sur l'impact environnemental de l'agriculture intensive, l'impact de l'alimentation sur la santé.
Créer des carrés potagers ou des espaces fruitiers dans certains quartiers défavorisés pour renouer le contact avec la nature...
Installer des composteurs de quartiers, valoriser ces déchets, soit pour des espaces verts, soit pour les agriculteurs (engrais naturels, c'est mieux non) ?
Installer des composteurs d'entreprises/écoles.... toute cette matière n'est pas valorisée..... elle est pourtant riche
-Préserver toutes les terres agricoles
-arrêter d'étendre les zones artisanales, commerciales et autres, ainsi que les lotissements.
-financer l'installation de jeunes agriculteurs en agriculture biologique
-préempter les exploitations à vendre
-aider les agriculteurs à arrêter les pesticides
-entourer les villes d'exploitations maraîchères bio et profiter de cette production locale pour fournir les restaurations collectives
-partout, utiliser friches non polluées, pelouses, terrains vagues, pour proposer des jardins familiaux ou partagés aux habitants
Pour notre environnement :
Végétaliser les rues (arbres et parcs, murs végétaux)
Planter beaucoup plus "d'arbres et mettre plus d'arbres en pots" (sur la grand place par exemple)
Réduire le coût et favoriser l'utilisation des transports en communs.
Créer plus de zones piétonnes et de pistes cyclables
Installer beaucoup plus de bornes de recharge rapide pour les voitures électriques
Accorder des bonus écologiques pour l'achat de véhicules électriques (voiture, scooter, vélo)
Favoriser les toits végétaux (comme au nouveau siège de la MEL)
Pourquoi pas faire de la MEL une ville alimentée entièrement grâce aux énergies renouvelables ?
nous sommes en période de grise et il serait de bon temps de réduire durablement les impôts de tous ordres.
Si quelqu'un a un projet de constructions de qualité dans un cœur de ville, c'est mon cas, pourquoi la MEL lui met-elle des bâtons dans les roues, préfère t-elle que les constructions se fassent hors Métropole de façon à aggraver encore plus la pollution par les déplacements qu'elles généreront obligatoirement.
Notre projet permet l'installation d'une soixantaine de famille dans un environnement de qualité en cœur de ville d'HALLUIN. Mais, je ne sais trop les vraies raisons, la MEL dont son Président préfère qu'au lieu et place de ce terrain subsiste des ruines que nous devrons démolir très prochainement et une vaste étendue de friche, dont une marre d'eau croupie en permanence qui sera bientôt (sans compter les risques d'accidents) le berceau des moustiques tigres qui arrivent sur la Métropole à grands pas. L'utopie c'est bon, mais cela doit avoir des limites .
La situation économique est difficile, beaucoup de souffrances vont voir le jour au sein de la MEL pour un nombre important de citoyens. Pourquoi ne pas laisser l'activité, les projets de qualité se créer pour le bien de tous.
Qu'est-ce qu'une zone en friche située en cœur de ville va pouvoir apporter aux riverains et à la commune d'HALLUIN sinon délinquance, méfaits en tous genres, mauvaises fréquentations et surtout une dépréciation très importante des biens des citoyens proches du site, qui très souvent ont travaillé toute leur vie active pour pouvoir devenir propriétaires. Des politiciens peuvent-ils ainsi ruiner des citoyens pour des raisons dont je cherche encore le sens...J'attends votre réponse Monsieur le Président de la MEL, Messieurs les élus d'HALLUIN.
Végétaliser les rues, ajouter des zones d'ombres près des écoles, dans les Ehpad : planter des arbres, arbrisseaux, des plantes
Jardiner , en potager : cultiver en bacs, à hauteur
Développer les jardins ouvriers familiaux
Faciliter la conversion des agriculteurs en bio
Permettre aux agriculteurs de gagner un revenu correct
Stopper l'artificialisation, retenir l'eau
Il faudrait que les écologistes arrêtent de détruire notre agriculture traditionnelle. Nos agriculteurs nourrissent le monde, et pourtant nous les maltraitons. Il faudrait associer les deux modèles d'agricultures : la production de masse nécessaire pour nourrir le monde et la production plus bio, plus territorial voir urbaine plutôt que les opposer.
Pour l'environnement, le développement durable, la transition énergétique ... tout cela doit-être conduit avec détermination mais sans excès ni passion partisane.
Conversation avec pg
Permettre aux producteurs locaux de vendre directement dans les super et hyper de la métropole. Quitte à faire des "marchés couverts".
Les marchés couverts, ce n'est pas la place qui manque : ex : au stade Pierre Mauroy, on trouve pas mal de parking........la plupart du temps inoccupés.
J'entends par marché couvert , les hypers et super qui ont de la surface commercial vacante à ne plus savoir quoi en faire ... Autant laisser venir les producteurs locaux mettre des étales ... Tous le monde est gagnant et le producteur local peut même vendre directement au client !
Depuis plusieurs étés maintenant les Hauts de France sont en vigilance sécheresse. Paradoxalement nos voisins belges imposent pour chaque maisons neuves des cuves d'eaux de pluies pour le ménage, l'arrosage des pelouses, les WC ... Pendant que côté français on voit des bureaux HQE pousser comme des champignons ... mais sans systèmes de récupération d'eaux de pluie. Il y a pas comme un problème dans la logique du respect des normes HQE ? Qu'on impose les systèmes de cuves pluviales pour chaque bâtiment neuf.
Depuis plusieurs étés maintenant, les Hauts de France sont en alertes sécheresses. Nos voisins et amis belges l’ont bien compris. Depuis 2010 chaque maison neuve est soumis à l’installation d’une cuve de récupération pluviale (arrosage de voiture, pelouse,WC …) . Sur Lille quand on voit le nombre de bureaux qui poussent comme des champignons, on se demande pourquoi ne pas pousser le vice HQE aussi loin ? La récupération pluviale est aux abonnées absentes sur les constructions neuves à Lille .
Conversation avec Amandine Gabriels
Beaucoup trop de déchets compostables sont jetés sans être réutilisés. Et les possibilités de compostage collectif sont des initiatives trop ponctuelles pour que tous les habitants s'y mettent.
La MEL pourrait organiser un service de collecte des déchets organiques sur le territoire, afin d'alimenter le centre de valorisation organique, qui permet notamment de faire rouler les bus de la métropole.
En Flandres Belges, des communes proposent des paniers de compostage de feuille à l'automne dans les quartiers ou il y a beaucoup d'arbres. Pourquoi pas la même chose en MEL ?
Conversation avec LaurentVASQ
Organiser une distribution exhaustive et gratuite dans toutes les boites aux lettres de la métropole d'autocollants STOP PUB pour que chaque citoyen puisse l'apposer sur sa bôite facilement. Actuellement, il faut (à VASCQ du moins) se rendre en mairie ou faire une démarche en ligne et parfois même l'acheter. Cela permettrait de diminuer significativement le poids des déchets dans les bacs (papier coloré et glacé souvent difficile à recycler).
A noter que l'on peut se rendre dans sa mairie pour en demander. Chose faite, pour moi, et j'en avais aussi pris et mis à disposition pour mes voisins (j'habite en appartement) : certains ont collés un stop pub, c'est déjà ça ! Environ 30kg/an/foyer ! J'incite chacun à faire cette démarche auprès de sa mairie !
J'ai directement mis un autocollant fait par mes soins ... Hors catalogues de la MEL ou du CG59 ... plus embetté avec des tonnes et des tonnes de pub ... Quand j'en ai cela fini en papier maché ou set de table pour le bricolage.
Créer un collectif métropolitain permettant aux citoyens volontaires d'aller planter des arbres, semer, nettoyer la nature et mettre tout le monde en relation. Il existe plein de belles associations, mais une coordination métropolitaine manque. Lancer un appel aux associations candidates pour rejoindre le collectif et faire en sorte de créer l'émulation autour de tout ce qu'on peut faire ensemble autour de chez soi pour rendre la vie plus agréable et saine.
Plus de déchetterie ... On la vu post confinement des files de voitures interminables pour aller jeter 3 planches en bois ...
Eduquer, ré-éduquer, sensibiliser. Développer et accompagner les démarches proactives et participatives.
Nettoyage des cours d'eau et prévention : Les cours d'eau (bras de la Marque ou autres) qui passent dans les villes ne sont que trop rarement nettoyés. Ils hébergent pourtant toute une faune de déchet et autres plastiques qui finiront dans les océans. Pourquoi donc ne pas régler le problème à la source en créant une véritable brigade des eaux qui arpenterait en barque les cours d'eau pour les nettoyer. Je peux en être bénévolement sans problème si un minimum de matériel est mis à disposition. De même, une politique mégots doit être menée par installation systématique de grilles filtrantes au niveau des bouches d'égout. Les mégots restant sont alors balayés par les équipes de nettoyage des caniveaux ou récupérés à l'intérieur de la bouche d'égoût si filtrage interne. Des solutions sont facilement trouvables ! En effet, un mégot contamine jusqu'à 500 litres d'eau, le filtrage en bout de chaîne juste avant la station est trop tardif !
Beaucoup d'espaces verts et ilôts de fraicheur dans la métropole. Transports publics gratuits et performants qui mènent partout à toute heure (avec grands parkings relais 24/7 aux extrémités lointaines) (besoin de tramway!!). Piétonniser totalement le centre.
Tout simplement redonner sa place à la nature dans notre métropole, département.
L'agriculture intensive pratiqué actuellement est un poison pour nous et notre environnement. Elle pollue les sols, l'eau et l'air ( pic de pollution de l'air pendant le confinement ?! ). Mais joue également très fortement à un effondrement de la biodiversité.
Replanter des haies, fin des pesticides, développer des projets de reboisement et multiplier les espaces protégés comme le relais nature du parc de la Deule. Une agriculture plus respectueuse de l’environnement est primordiale !
Bien sur cela passe par une incitation et ensuite un accompagnement des agriculteurs dans cette transition.
Communiquer davantage sur les produits et producteurs de la MEL ; et permettre d'identifier facilement les produits ainsi que les points de vente, les circuits de distribution et les lieux de restauration où ils peuvent être achetés ou consommés.
Il faut les valoriser et les faire gagner en visibilité.
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