🔮 Et Maintenant, On Imagine la MEL Comment ?

Plus de parkings gratuits, des plages d'ouverture plus importantes, ouverture le WE, voir ce qui se fait en Belgique, baiser le prix du travail aves moins de taxes et charges le moindre emploi privé 3000€ / mois

Des évènements un peu partout sur le territoire de la MEL pour découvrir les sociétés qui produisent des produits frais, des choses qui peuvent être indispensable à notre sécurité au niveau de la santé sans que cela soit fabriqué en Chine ou ailleurs dans le monde.

Il faudrait plus de liberté d'actions et moins de fiscalité.

Après plusieurs mois de fermetures, et une annulation probable de la braderie qui ne pourra pas rattraper le manque à gagner, Il va falloir baisser les charges mais aussi proposer au gouvernement une baisse de TVA pour pouvoir relancer l'économie et l'emploi dans les commerces
soutenir TOUS les commerces, bars compris.
revoir éventuellement les horaires d'ouvertures pour combler le manque à gagner et permettre aussi une reprise de l'emploi dans le secteur du Café Hotel Restaurant, qui, jusqu'à nouvel ordre, n'a pas de réouverture prévue et sera donc à plus que 2 mois de fermeture
rendre gratuit le stationnant le weekend dans toute la ville et notamment dans le centre ville qui souffre beaucoup depuis 3 ans
consommer local (brasseur de la MEL, traiteurs de la MEL... ) dans les événements de la ville : salons, réunions, rencontres, forum, festival....
Organiser une rencontre avec les acteur commerciaux de la MEL pour discuter des actions envisageables

Faciliter l'accès aux locaux commerciaux aux commerces locaux/compliquer financièrement l'accès pour les grands groupes non impliqués dans le tissu local

Consommer uniquement localement pour les achats de la métropole, y compris le BTP : que l'argent dépensé par le public serve localement.

Plus de consommation locale via une monnaie locale (http://mlclille.org n'existe plus depuis 2017 ? Il y avait eu un appel d'offre en 2018 sur ce sujet mais ou est-ce que cela en est ?).

Un service public de la livraison à domicile,

Favoriser les entreprises et associations de première nécessité (agriculture, santé, lien social) pour assurer leur survie en temps de crise (comme une nationalisation temporaire, mais au niveau de la MEL).

L'équivalent d'un"nutri-score" permettant de savoir si on achète nos produits et services à des entreprises qui ont des externalités positives sur le territoire.

L'économie locale, ce ne sont pas que les emplois locaux et le commerce. Rémunérer d'autres activités à externalités positives ? Un revenu universel pour travailler moins et partager le travail ?

mettre en place les moyens d'une formation permanente : nous avons des universités, des grandes entreprises. Ne pourrions nous pas inventer une interactions entre le besoin des entreprises, le corps social et les organismes de formations. L'automatisation et la robotisation qui est à l’œuvre ne s’arrêtera pas, il faut pouvoir anticiper pour se former en permanence.
Mettre en place une blockchain/DAO type : https://arcade.city/ pour que chacun puisse mettre à disposition (vendre) ses compétences sans passer par une plateforme, baissant naturellement le coût de la prestation et augmentant le revenu des personnes concernées. Créer un système d'amortisseur comme pour tout salarié (prestations sociales : à l'image peut être du statut des intermittents du spectacle)

un label : local, écologiquement positif, socialement vertueux et encourager la consommation locale et les emplois sur le territoire

Pour notre économie locale:

identifier les nouveaux gisements d'emplois:
*permettent à l'agriculture de se développer autrement (bio; permaculture), que les agriculteurs aient des revenus décents, les aider à se développer et à créer de l'emploi
*valoriser les métiers de l'agriculture, créer des formations et du lien auprès de Pole Emploi
*valoriser les besoins technologiques de l'agriculture; créer du lien avec les Universités de la métropole et des projets d'études et d'innovations
développer le tourisme fluvial:
*analyser les potentiels économiques de ce tourisme dans la métropole et l'aire métropolitaine
*développer les commerces en lien avec ce tourisme
*créer du lien avec les Universités et entreprises de la tech' pour étudier des modes de transport nautique à faible impact bas carbone (tant en construction qu'en utilisation)
*étudier le développement de transport public fluviaux

Plus de liberté, c’est le vrai défi du 21 siècle, car elles fondent à vue d’œil …

Moins de fiscalité. Que les politiques arrêter avec la promotion de cette mentalité lutte des classes car à la fin c’est toujours le français moyen qui paye.

en idée de nouveaux gisements d'emplois:

création de filières "matériaux biosourcés" locales : sylviculture, agriculture, revalorisation des textiles et papier
imposer dans le PLU le recours à des matériaux biosourcés pour toute construction neuve, et créer une subvention pour les projets de rénovation avec intégration de matériaux biosourcés
créer un Label "terres des Hauts-de-France" (par exemple) permettant d'assurer une qualité de process de qualité des produits biosourcés, de management des ressources, de gestion des sites de production-transformation
créer une filière transport circuit court à faible impact : fluvial, ferroviaire
développer et inciter le réemploi des matériaux dans les projets : permet de créer une nouvelle filière avec potentiel d'emplois

ces nouvelles filières auront besoin d'outils et de technologies innovantes, permettant de pousser la recherche dans els Ecoles et Universités, de créer de nouvelles entreprises technologiques

Il faudrait inciter à consommer local et de seconde main.
C'est le cas pour l'alimentation, pour l'habillement mais également pour le secteur du bâtiment !

Les service de déchèteries et de ressourceries doivent être mutualisés, et une nouvelle FILIÈRES LOCALE, basé sur un maillage d'acteurs, pourrait permettre la revente de matériaux de seconde main, leur remise en état, leur transformation (qui pourrait comporter une étape intermédiaire à leur recyclage).

Cela permettrait de faire une pierre deux coup :
- réduire les déchets du BTP
- consommer local
- créer de l'emploi non délocalisable
- limiter l'utilisation de matières premières

Un projet de Fin d'Etude a été proposé dans ce sens à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture et de Paysage de Lille pour le territoire de la MEL.

Dans un souci de justice, d'équité et de conscientisation de la valeur du patrimoine musical local, il serait judicieux et innovant, à mes yeux, de diffuser dans les stations de métro, et dans une certaine mesure, les oeuvres d'artistes régionaux afin de veiller à une plus juste répartition des droits d’auteurs générés par la diffusion de musique enregistrée dans ces lieux publics.
A l’instar des nouveaux leviers de croissance tirés de l’agriculture et du développement des nouveaux modes de distribution favorisant les circuits courts, la mise en lumière du patrimoine musical local encouragera le rapprochement
de façon astucieuse entre Ilévia et ses voyageurs.

-Ré-apprendre ou ré-enseigner à consommer autrement, de manière plus frugales
- lutter contre l'obsolescence programmée
- faire durer nos objets
- Aider les gens à trouver un emploi plus en phase avec une consommation durable, raisonnée et de valeur

Si on veut vraiment privilégier/soutenir les commerces locaux, de quartier, de proximité qui favorisent le développement tout en préservant la qualité de vie, peut-on envisager de mettre en place des fléchages pour piétons et cyclistes pour indiquer à quelle distance à pied, à vélo se trouve ces commerces / restaurants. On pourrait même envisager d'avoir quelques attaches vélos.

Un peu comme cela se fait dans les zones industrielles pour les voitures avec des parkings !

Réoccuper les bureaux vacants dans le versant nord-est. Roubaix, Wattrelos, Hem ... des dizaines de bureaux vide. Kiabi est le dernier exemple. Pourquoi ne pas promouvoir l'installation dans ces locaux pour des entreprises ne souhaitant pas aller dans Lille intramuros ?

La pollution au C02 des hauts de france vient en priorité des produits manufacturés.
Apprendre les habitants à déconsommer : consommer moins mais mieux est un vrai défit qui passe par la formation des plus jeunes dans les écoles en leur expliquant à base de vidéos CHOC s'il le faut comme pour la sécurité routière les ravages de la consommation (océans de plastique, ...). La sensibilisation de tous par la distribution massive et gratuite d'autocollants STOP PUB pourrait être envisagée : cout minime (possible de l'intégrer en pointillés détachable dans les journaux de ville : La Tribune à Villeneuve d'Ascq, Images de Marcq, ...)

il faudrait favoriser ( aider ? ) l'économie circulaire et solidaire et circuits courts.
gratuité des transports en commun , développer le réseau rural et limiter la circulation dans les centres ville

Transports publics gratuits et performants qui mènent partout à toute heure (avec grands parkings relais 24/7 aux extrémités lointaines) (besoin de tramway!!). Piétonniser totalement le centre.

Limiter l’éclairage nocturne : Éteindre les magasins la nuit. Pendant le confinement un grand nombre étaient allumés alors que nous ne pouvions même pas sortir ou encore acheter puisque les magasins étaient fermés. Cela réduirait considérablement la consommation d’électricité.
Apporter plus de transparence sur la consommation (eau, énergie, etc.) de chaque commerce.
Soutenir les commerces locaux : les mettre en avant, faire une communication, etc.

Développer les formations aux langues étrangères (anglais et flamand), à la fois pour mieux profiter des opportunités d'emploi en Belgique et pour favoriser le commerce avec les clients étrangers

Faire de la MEL une vraie Métropole Internationale, capable d'accueillir des Sièges sociaux de multinationales. Donc avec plus d'écoles internationales, ainsi qu'une sécurité et des réseaux de transports améliorés.