đïž Habitat en MĂ©tropole
#habitatenmetropole Quelle politique de lâHabitat pour la MEL demain ?
đŠ DĂ©veloppement de l'habitat au sein de la MĂ©tropole
La MEL est un territoire attractif grĂące Ă sa vocation universitaire et son dynamisme Ă©conomique. Si la population continue dâaugmenter grĂące Ă un nombre important de naissances, il y a toutefois davantage de mĂ©nages qui quittent la MEL - en particulier pour des territoires limitrophes - que de mĂ©nages qui sây installent. Cela contribue Ă augmenter les dĂ©placements domicile/travail flux.
La MEL doit ainsi dĂ©velopper un modĂšle rĂ©sidentiel plus durable & attractif : garantie dâun cadre de vie dĂ©sirable et dâun logement accessible et d'un bien vivre ensemble, densification des espaces bien desservis par les transports en commun et bien dotĂ©s en services, rĂ©sorption des logements vacants et des friches constituant des potentiels de dĂ©veloppement de lâhabitat mĂ©tropolitain.
En outre, la MEL sâest engagĂ©e en faveur de la prĂ©servation des ressources en eau et des ressources fonciĂšres par la limitation des zones dâextension.
Ce registre a pour but de recueillir la réaction des habitants métropolitains face aux grands enseignements du diagnostic. Par la suite, il sera possible de réagir aux propositions d'orientations et de programme d'actions.
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Quel est le résumé ou la conclusion de ce débat?
26 commentaires
ici vous pouvez faire des commentaires qui brossent la M.E.L. et ses prérogatives.
Si vous avez des objections sur leur action, passez votre chemin, votre commentaire sera effacé.
La M.E.L fait une bonne analyse dans son ouverture de débat officiel mais agit totalement différemment sur le terrain. Si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi, ce serait sympa.
Elle nous dit "La MEL doit ainsi dĂ©velopper un modĂšle rĂ©sidentiel plus durable & attractif : garantie dâun cadre de vie dĂ©sirable et dâun logement accessible et d'un bien vivre ensemble, densification des espaces bien desservis par les transports en commun et bien dotĂ©s en services," et empĂȘche une centaine de famille de profiter de cela pour laisser Ă la place un terrain vague et des ruines qui serviront de lieu de raliement Ă des dealers en plein coeur d'Halluin, devant un arrĂȘt de bus et prĂšs des Ă©coles, collĂšge et lycĂ©e.
Conversation avec Rochoux
Bonjour, un habitat agrĂ©able avec espace extĂ©rieur (toiture terrasse jardin obligatoire pour les nouveaux projets immobiliers), proche dâespaces verts et dâinstallations sportives (Ă©tonnement il est plus facile de jouer au tennis Ă paris quâĂ Lille). Les nouveaux quartiers sont souvent morts ou les seuls commerces sont de grandes enseignes. Il est important de prĂ©voir marchĂ©, Ă©picerie et boulangerie de qualitĂ©. La liaison avec pistes cyclable sĂ©curisĂ©e aux autres transports en commun est gage dâattractivitĂ©. Ne laissons pas la conception aux seuls promoteurs qui nâont une vision que court-termiste. Merci
Bonjour, je vous rejoins sur la disparition (ce terme est plus indiqué) des petits commerces et de surcroßt de qualité (sans non plus tomber dans le produit de luxe). Je pense que la MEL doit encourager l'installation d'artisan dans les différentes localité. AprÚs il faut que les habitants suivent ! L'étude le montre, il y a une paupérisation de la population de la MEL, et l'argent influe sur les modes de consommation et cette problématique ne trouvera uniquement sa réponse dans la seule question de l'habitat. Concernant l'aspect indispensable d'un espace extérieur, je pense que vous sous-entez qu'il soit privatif ce qui induit un étalement urbain (plus de surface au sol par logement), la MEL est déjà trÚs urbanisé. Mais clairement, comme vous, je n'idéalise pas un logement sans un espace de verdure privé de taille suffisante mais bon ce n'est pas l'idéal pour tous. La MEL a besoin de citoyens déjà habitué à vivre comme des métropolitains.
je dispose de terrains en cĆur de ville pour que 100 foyers dispose d'une demeure de qualitĂ© au sein d'un vaste espace vert et Ă proximitĂ© immĂ©diate de tous les services. La M.E.L refuse notre projet et souhaite au lieu et place une friche qui servira de lieu de rassemblement pour les dealers. DĂšs lors pourquoi les personnes aisĂ©es restera habiter au sein de cette M.E.L. oĂč les urbanistes sont totalement incompĂ©tents
je dispose de terrains en cĆur de ville pour que 100 foyers dispose d'une demeure de qualitĂ© au sein d'un vaste espace vert et Ă proximitĂ© immĂ©diate de tous les services. La M.E.L refuse notre projet et souhaite au lieu et place une friche qui servira de lieu de rassemblement pour les dealers. DĂšs lors pourquoi les personnes aisĂ©es restera habiter au sein de cette M.E.L. oĂč les urbanistes sont totalement incompĂ©tents
Personnellement, je ne suis pas un natif de la ME, ni un de ses universitaires et je suis originaire de son dĂ©partement. HonnĂȘtement, je n'ai jamais idĂ©alisĂ© d'y vivre (on y va car on y travail). Nous avons tester de vivre en dehors (Laventie) et il faut du courage car faire la route ça revient Ă "metro boulot dodo". Donc dans les villes limitrophes (en Ă©liminant Tourcoing et Roubaix car rĂ©putĂ©s comme des villes emprises d'insĂ©curitĂ©). Comme on est primo ascendant, on recherche un bien(de type pavillon => on n'est pas des mĂ©tropolitains donc les immeubles c'est pas pour nous lol) Et lĂ ! C'est la douche froide, il faut pousser jusqu'Ă La BassĂ© pour trouver le trio(Bien/Moyen/Cadre) et accepter le mode pendulaire et les risques (accidents de la route/bouchons etc...). Ou alors se rĂ©signer (comme nous) Ă prendre un bien qui prĂ©sente un potentiel de rĂ©novation pour y gagner un peu. Donc oui, on ne s'y projetait pas plus de 10 ans et les 7 ans n'y ont rien changĂ©.
Conversation avec GND
Voici mon analyse un peu caricaturale. La MEL Ă 3 type de population des Natifs, des immigrĂ©s du travail (comme moi par exemple voir ci-dessus) et des Ă©tudiants (qui sont entre les deux car je trouve beaucoup capable Ă s'adapter/s'intĂ©grer qu'un immigrĂ© du travail). Au vue des contraintes de la MEL, elle a tout intĂ©rĂȘt Ă investir plus fortement sur les Ă©tudiants qui accepteront plus facilement l'augmentation de la densitĂ© de population et le systĂšme de copropriĂ©tĂ© (verticalisation oblige) . Cela posĂ©, il faut pĂ©renniser l'Ă©tudiant et pour ça il faut qu'il puisse trouver un emplois sur le territoire.Il est donc important que la MEL soit cohĂ©rente dans son offre de diplĂŽme et son domaine d'emploi. Pour ça elle doit investir dans des secteurs novateurs qui peuvent rayonner Ă l'international en limitant la dĂ©localisation de la compĂ©tence. ça peut ĂȘtre les nouvelles technologies, l'hydroponie Ă grande Ă©chelle, la chimie verte, le recyclage etc...
Pour complĂ©ter : Pour les natifs, ils ont leur repĂšre et leur famille, pour ils doivent pouvoir trouver un emplois (mĂȘme problĂ©matique que les Ă©tudiants) et un logement adapter en terme de coĂ»t au primo accĂ©dant ou au loyer permettant d'Ă©pargner sans impacter la qualitĂ© de vie ou encore de dĂ©velopper des systĂšmes acquisition/location (un bien sera mis en location au dĂ©but pour une premiĂšre phase d'amortissement puis une mise en vente moins chĂšre que sa valeur (Ă bien encadrer pour assurer l'Ă©quitĂ© social). Je motive le derniĂšre voie car si on souhaite proposer des biens convenables, et modernes Ă tous, la principale problĂ©matique est le coĂ»t. Aujourd'hui, et de ce que j'arrive Ă en percevoir, il est trĂšs difficile pour obtenir le financement ou pouvoir de l'assumer (la durĂ©e des crĂ©dits s'allonge maintenant on parle de 25/30 ans pour 33% d'endettement) car l'avenir salariale est devenu trĂšs incertain et l'employabilitĂ© est faible.
Donc pour moi une location avec option d'achat permet Ă chaque locataire de garder une forme de souplesse (rupture de bail pour une meilleur opportunitĂ©) et d'engager une forme de capitalisation et enfin pour le propriĂ©taire de pouvoir extraire un bĂ©nĂ©fice sur son investissement. Comme dit prĂ©cĂ©demment ce type d'action doit ĂȘtre bien encadrĂ© pour Ă©viter des inĂ©galitĂ©s (effet de seuil). Enfin, je pense qu'il est important qu'une telle action ne tue pas l'investissement immobiliĂšre des particuliers, on a besoin de diversifier (tant que c'est possible) nos revenus pour faire face Ă la nĂ©cessitĂ© d'un temps d'allongement du temps de travail qui augmenteront l'impact des inĂ©galitĂ©s naturelles (maladies), des faibles montants des retraites (l'Etat a recommandĂ© d'investir dans un PER ça veut tout dire !) et de la faible croissance des salaires sur la carriĂšre (allongeant les durĂ©es d'Ă©pargne pour engager un investissement). Peut-ĂȘtre il serait intĂ©ressant de mixer les 2.
Les Ă©migrĂ©s du travail. D'expĂ©rience, venant d'une ville moyenne de la CUD, nous Ă©tions Ă la recherche d'un pavillon (>120 mÂČ habitable avec 3 Ă 4 chambres => 2 enfants en projection) avec jardin (200mÂČ) et un garage/atelier pour un montant Ă 250 000âŹ. La ville doit ĂȘtre accueillante, calme (zone rĂ©sidentielle), dynamique (centre ou zone) par ses commerces de proximitĂ©, ses associations, ses Ă©vĂ©nements et ses activitĂ©s de loisir et culturel. Clairement (peut-ĂȘtre que je n'ai pas tout vue), aprĂšs 7 an sur la MEL on sait pas oĂč faire une sortie ne serait ce que pour boire un verre ou manger une glace dans un cadre familiale/ou naturel. Il y a des parcs mais pas une brasserie ou un glacier etc... Je trouve le concept du city parc trĂšs bien mais il faut toujours se dĂ©placer sur Lille et c'est toujours une expĂ©dition avec des jeunes enfants. Il y a aussi le parc de la mozaĂŻc mais il faut payer l'entrĂ©e pour y accĂ©der mĂȘme pour faire un tour pour se dĂ©payser.
AprĂšs pour mettre un peu d'Ă©quilibre dans mon discours j'ai fait de belle dĂ©couverte par exemple Erquynghem-Lys qui a un beau parc au bord de la DeĂ»le avec sa fĂȘte annuelle des Ercans et un petit centre ville avec de bons artisans. Il y a la Z'ane Attitude oĂč les enfants peuvent approcher les Ăąnes et y manger en autre une crĂȘpe. Le parc de la chapelle d'ArmentiĂšres oĂč au printemps on peut approcher les pĂąturages oĂč paissent des vaches. Il y a aussi le parc et les quais du port de Wambrechie et enfin (mĂȘme si c'est privĂ© mais accessible gratuitement) le parc des compagnons des saisons Ă Wambrechie. Mais tout ça c'est du dĂ©placement pour une petite heure de balade.
vous avez parfaitement raison
administratif figé! désespoir de la France.
La M.E.L. tient une bonne place dans la dégradation de notre métropole.
Notre bien foncier répond à tous les critÚres pour que naisse un projet d'urbanisme sain qui répond aux attentes mises en place par le gouvernement.
A savoir: Proximité des transports en commun, des écoles, des services administratifs et des commerces qui se meurent.
Notre projet consistait Ă offrir dans un cadre verdoyant et de revitalitĂ© historique, Ă crĂ©er environ 85 logements multigĂ©nĂ©rationnels , dont une vingtaine en primo-accession et des services ( restaurant, salle de rĂ©ception) pour redynamiser le quartier du Molinel situĂ© en cĆur de ville Ă Halluin, le tout sur une surface de 33 000m2 . La MEL et notre nouvel Ă©lu local lui prĂ©fĂšre un espace vert de plus, alors que ceux existants dans la zone sont importants et mal entretenus.
Pour rendre la mĂ©tropole plus attractive , il faudrait augmenter les espaces verts publics et favoriser les modes doux. La mĂ©tropole suffoque et les habitants aspirent sĂ»rement Ă davantage de verdure et dâespace plus apaisantâŠ.Quelques idĂ©es:
-Imposer pour toute nouvelle construction dâimmeubles des toitures vĂ©gĂ©talisĂ©es accessibles aux rĂ©sidents.
-Créer des voies express vélo, soit des pistes cyclables sécurisées, bitumées et sans nid-de-poule, en double voie, avec des feux de circulation adaptés à la vitesse des cyclistes ( cf Copenhague) ou des ronds points facilitant le passage des vélos. Les voies express vélo pourraient joindre tous les plus grands parcs de la métropole.
-Obliger chaque ville ou quartier de Lille à créer un potager participatif ouvert à tous et tout le temps.
-CrĂ©er un grand parc supplĂ©mentaire en centre ville oĂč l'on peut se balader, faire du vĂ©lo ou courir.
Conversation avec renard
votre PLU2 est une catastrophe pour la MĂ©tropole de Lille. Vous accordez des permis dans des zones pestilentielles et refusez des permis dans les cĆurs de villes en clair vous vous dites verts mais vous Ćuvrez Ă fonds pour l'artificialisation des sols au sein de la MĂ©tropole Lilloise.
pour conforter le constat fait par la M.E.L en tĂȘte de chapitre j'ajoute ce qui suit
Afin de réduire au maximum l'artificialisation des sols et les va et vient répétés des habitants qui résident hors des villes bien malgré eux, faute de terrain disponible pour construire en ville, mais qui ont besoin des services publics implantés dans ces villes pour vivre et élever correctement leur famille.
Je crois alors qu'il est urgent dĂšs lors qu'un propriĂ©taire de terrain situĂ© en cĆur de ville veut vendre pour construire, que si la mairie et/ou la mĂ©tropole concernĂ©e s'oppose Ă cette vente, que cette (ou ces derniĂšres) soit taxĂ©e trĂšs fortement annuellement (de l'ordre de 10⏠le m2 gelĂ©, si la dĂ©cision vient des deux entitĂ©s, toutes deux payent alors 10/m2/an) car elle(s) contribue(nt) par leur attitude Ă favoriser fortement les Ă©missions de CO2.
De telles actions relÚvent de l'intolérable et de la faute grave. Ce n'est pas parce que ce sont des élus qui décident, qu'ils ne commettent pas d'erreurs qui dans ce cas sont criminelles pour nos générations à venir.
Etre capable de construire en hauteur, comme la tour Upsite à Bruxelles, en centre-ville, prÚs des commodités (espaces verts de qualité, commerces, transports, loisirs).
En ville, on sait bien qu'avoir son jardin est un luxe, par contre si vous voulez retenir des familles en milieu urbain il est indispensable d'avoir les commodités citées à moins de 10 mins à pied.
Sinon l'intĂ©rĂȘt de la ville est limitĂ©e.
Amazing post
Donc pour moi une location avec option d'achat permet à chaque locataire de garder une forme de souplesse (rupture de bail pour une meilleur opportunité) et d'engager une forme de capitalisation et enfin pour le propriétaire de pouvoir extraire un bénéfice sur son investissement.
une rĂ©flexion qui concerne plus le bien ĂȘtre des habitants, que le plan habitat en lui-mĂȘme. La MEL s'est engagĂ©e dans un plan climat air Ă©nergie. Cependant, en tant qu'habitante de la MEL, j'ai dĂ» mal Ă comprendre comment la transition Ă©nergĂ©tique va s'effectuer. On y parle de boisements, dont certains en ville, d'espaces verts contre les Ăźlots de chaleur, mais sur quels terrains ? J'ai toujours l'impression de voir le contraire s'opĂ©rer sur le territoire. J'habite sur Marcq/La Madeleine. Et on y laisse se construire une nouvelle zone d'activitĂ©s en pleine ville, avec un nouveau supermarchĂ© (Ă moins d'un kilomĂštre de deux autres supermarchĂ©s). Partout sur le territoire, des constructions d'immeubles de bureaux, on en laisse se construire des nouveaux Ă cĂŽtĂ© d'anciens immeubles de bureaux qui affichent des pancartes de vente depuis deux trois ans. A quand un moratoire sur la construction de bureaux, de locaux d'activitĂ© et commerciaux pour d'abord utiliser l'existant?
plus les projets des fameuses zones d'activité à la campagne : Illies... plus l'extension de l'aéroport, etc...
des constructions le long des berges de la DeĂ»le, au plus prĂšs, sans tampons vĂ©gĂ©taux pour avoir encore un peu l'impression d'un espace naturel, et avoir des protections contre la chaleur justement. Par consĂ©quent, j'ai dĂ» mal Ă apprĂ©hender quels sont les terrains restants pour amĂ©nager les espaces verts qui vont aider Ă la neutralitĂ© carbone, mais aussi qui vont contribuer au bien ĂȘtre des habitants, et leur donner envie de s'installer ou de rester ici.
Plein de choses Ă faire ! Soyez l'instigateur de nouveaux projets ambitieux pour la ville !
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